Une autre voie pour la France

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Ce n’est pas la France qu’il faut changer, mais nous les français, afin de vivre différemment.

Il faut des lois plus strictes pour une plus grande liberté.

Des logements tous aux normes de sécurité,

Aucune location possible sans un certificat de conformité.

Respect de l’hygiène, salle de bain obligatoire.

Contrôle obligatoire tous les 3 ans.

Ecole enfantine obligatoire dès la 5 ème année.

Les personnes en relation avec des enfants devront être assermentées et se soumettre à un examen psycho médical annuel

Un revenu accordé à toutes les mamans qui souhaitent élever leurs enfants jusqu’à la 5 -ème année.

Classe verte : une balade (sortie d’enfant en groupe avec 2 accompagnateurs), 1 jour par semaine. Non obligatoire.

Par un appel aux grandes maisons d’édition des livres seraient offerts aux enfants pour les anniversaires ou à Noel.

Des billets de spectacles pourraient être également offerts aux enfants.

Lutter contre la marchandisation des êtres humains et punir le trafic d’organes

Rendre la médecine accessible et proposer un bilan complet par an.

Créer une caisse alimentée par des bienfaiteurs pour soigner les personnes en difficultés.

Refondre le système de protection sociale pour un meilleur équilibre économique dans les couches sociales.

Développer des systèmes de parrainage et de famille de coeur afin que toutes les générations échangent et mettent fin à 1 isolement.

Faire un geste humain vis-à-vis des plus fragiles et les motiver à se reconstruire par le contact et l’encouragement.

Un sourire, une attention, une fleur, quelques chocolats et la journée sera autrement.

 

Regarder derrière nous pour penser à demain. Participez et investissez vous avec moi pour créer et reconstruire une société réellement différente

Il y a des causes nationales ou mondiales qui n’appartiennent à aucun parti politique si ce n’est celle de l’humanisme. La santé, le respect de la dignité, la solidarité. Quelques règles sont des exemples pour nos enfants et notre entourage.

NOTRE PROBLEMATIQUE

 

Une société qui a transformé ses bases et ses valeurs fondée sur le matérialisme, imposant, l’individualisme, l’avidité de consommer immédiatement érigeant l’individualisme comme socle du nouveau monde ne peut s’appauvrir.

 

N’ayant pour objectif que le Dieu que l’argent et les dérives qui s’y rattachent est irréversiblement vouée à l’échec et qui réparti le travail lorsque l’emploi a disparu par leur propre volonté démotive et fait perdre les valeurs du travail en les banalisant tout en favorisant la délocalisation.

Nous avons de sérieux problèmes à régler dont  la démographie, la démocratie, la démagogie.

 

Concevoir la gestation pour autrui se trouve dans un cycle d’auto destruction. Cette société que nous construisons va à l’encontre de la nature dépassée par l’utilisation de l’évolution de la science.

La famille avec ses traditions dans son ensemble avec ses liens que l’on a connu n’a plus sa place dans une société ou règne les lois les plus dures d’individualisme.

 

Les politiques qui n’ont pas d’anticipation, n’ont pas même envisagé que l’homme allait vivre plus longtemps, remplir les maisons de retraites qui sont de véritables mouroirs et entrent dans le système du profit à tout prix, tenues pour la plupart par des fonds de pension Américains.

 

Se construire en étape laisse au milieu de la vie des personnes dans la détresse sur le carreau avant de recommencer à zéro.

Refuser de donner un emploi aux plus de 40 ans, sous prétexte que l’on serait trop vieux sur le marché du travail, atteint à la dignité humaine et prouve une grave carence à penser et organiser l’évolution afin de trouver des solutions harmonieuses qui profiteraient à la vie familiale, sociale et économique.

 

Consommer au-delà des ressources naturelles trahie la nature. Cette société se plie à un rendement excessif qui court toujours, traversant la vie sans rein voir, cependant ne rattrape jamais nos désirs de consommer toujours croissants aussi elle se retrouve  à devoir fabriquer des produits dangereux pour notre santé faisant exploser de nouvelles maladies pour la plupart cancérigène.

 

Quelle est la finalité d’une société qui écarte la précarité au lieu de l’éradiquer. La richesse s’oppose toujours à la pauvreté ainsi l’ascenseur social est en panne total. Une minorité s’enrichit de plus en plus pendant que la misère s’étale puisqu’en France nous frisons les 10 millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté dont une grande partie ne dispose pas d’eau potable, c’est la véritable revendication actuelle aux Antilles, l’eau potable étant privatisée, la population n’a plus accès l’eau potable.

 

Consommer de la viande 2 fois par jour, nous a conduit à l’élevage intensif  ignorant totalement le respect du monde animal et plus largement de la nature.

 

Sommes-nous conscients de manger des fruits dont les pommes qui ont été arrosées de 17 couches de pesticides détruit irréversiblement notre santé sans se poser de questions sur les conséquences, que fait l’OMS ?

Un gouvernement quel qui soit qui accorde à peine de quoi vivre à ses anciens comme pour les agriculteurs, ils sont cependant essentiels à la base de nos besoins alimentaires, mais la volonté ne semble pas réactive chez les politiques.

Nous pensons que la nature serait seule responsable du réchauffement planétaire occultant que l’industrie a mis une chape de pollution à l’ozone au-dessus de nous qui érige la mauvaise foi plutôt que de remettre en cause les systèmes économiques à l’origine de cette pollution devenue meurtrière.

 

Déverser depuis longtemps dans les mers des nappes d’hydrocarbure et autres déchets a rendu  certains  littoraux et plages impraticables, transformés pour la plupart en cimetières d’oiseaux, anéantissant la flore marine, prélude à une catastrophe écologique majeure car aujourd’hui plus rien ne peut stopper les irresponsables, la pêche industrielle et bientôt la disparition d’espèces (cétacés, thons, morues, oiseaux marins et la liste n’est pas exhaustive) et la destruction des zones de reproductions des espèces brisent la chaîne alimentaire et nous conduisent directement à transformer la mer en désert écologique. Vous avez certainement mangé sans trop chercher à comprendre pourquoi un poulet avait un goût de poisson ou alors du saumon d’élevage au goût

 

de poulet. Nous voilà habitué à voir flotter des poissons morts qui ont avalé du plastique

On assiste à l’évaporation du respect, on s’expose à un retour de boomerang car les lois naturelles qui régissent ce monde feront qu’un jour l’humanité paiera les outrages qu’elle fait aujourd’hui subir à la nature qui elle vivra bien après nous.

 

Ce nouveau monde dont le credo est la compétitivité à tout prix et à tous les niveaux, professionnels, familials, sentimentaux, déborde d’égoïsme nous expose  à de brusques revirement de situations abandonnant ceux qui se trouvent au bord du chemin en marge de tout, lorsque leur vie tourne à l’envers et qu’ils sont écartés du système.

 

Un monde qui voit le nombre de suicide augmenter gravement, est une société qui se voile la face en refusant d’accompagner les personnes dans les mutations profondes qui marquent notre époque transformant ainsi les anciennes valeurs de continuités et de stabilités en poussière piégeant les plus faibles en les plongeant dans une précarité quasi définitive, les revers de vie sont comme les médailles, à deux facettes.

 

On a opté pour  un cadre technocrate en acceptant de se voir enfermer consentant à la privation de liberté,  en  se noyant de statistiques, grilles de lecture, classements, ou chiffres, oubliant que des être vivants et en particulier l’être humain ne peut être réduit à une équation ou a un code barre que nous représentons dans l’économie mondiale. C’est la base même de notre existence et de notre progrès. Les nouveaux maîtres de

 

ce monde ne nous conçoivent qu’à travers des équations des observations et des chiffres, un élément de rentabilité.

A peine né nous coûtons ou rapportons, et il en sera désormais ainsi durant toute notre vie, nous sommes devenus des codes barres étudies en permanence à travers des statistiques comportementales et des traçages numériques commandités par les états et les multinationales uniquement pour le profit ne soucient en aucun cas de nos véritables problèmes.

 

Deux exemples sont frappants : la question des retraites mais c’est faire peu de cas des différences dans la vie professionnelle, des pénibilités de certains métiers, et de la volonté de chacun de se maintenir en activité.

 

Les 35 heures sont une fausse solution car les métiers pénibles ne devraient pas être placés dans une grille de lecture. Il faut laisser un minimum d’autonomie à chacun et de prise sur notre propre vie, trop de facteurs interviennent dans la vie personnelle de chacun.

 

Notre nouvelle culture ne donne guère le choix aux femmes qui souhaiteraient élever leurs enfants plutôt que d’être obligé d’aller travailler. Que peut comprendre un enfant de 3 ans levé aux aurores, vite emmené soit chez la nounou, soit dans une crèche, ballotté ainsi dès leur plus jeune âge, un enfant de trois ans n’a aucun pas acquit d’immunité il s’exposera bien souvent à une multitude de maladies et les parents devront récupérer l’enfant malade. On est bel et bien rentré dans un système qui est incompatible avec la vie en société.

 

Un état qui dépense des milliards pour les excès de ceux qui la dirigent et renonce à chauffer ses universités et une société qui oublie que son avenir passe par l’éducation de ses enfants. Les étudiants se sont vus délester de 5 euros par mois alors qu’ils sont sous le seuil de pauvreté, directement pris dans leur poche, l’état a manqué à son devoir d’aide à sa jeunesse. On gratte d’un côté pour mieux dilapider les fonds publics.

 

L’insécurité croissante que génère notre société est la résultante d’une Europe trop lourde, constituée de 27 pays alors que les douze prévus à la base étaient un excellent projet de dimension adaptée, idée du général De Gaulle alors que les 27 qui la constitue actuellement et qui menacent de s’effondrer. L’immigration massive est encouragée en provenance des pays du tiers monde dans le but de maintenir des bas salaires, elle brasse des populations totalement étrangères les unes aux autres.

 

Les racines de la violence prolifèrent aux quatre coins du monde, il en va de même à une moindre échelle pour l’ensemble des pays lesquels se trouvant dans la misère développent automatiquement la violence. La France est à hauts risques, la précarité prend le large et la répression resserre les rangs, nous conduisant probablement à une dictature, c’est le principe du roi, du prince qui n’existent que par la misère du peuple.

 

Dans un modèle de vie ou nous avons perdu tout repère et où les valeurs fondatrices de notre société sont mises à mal par le règne sans partage au profit du chacun pour soi et de la toute puissance de l’argent. Aucune gestion du potentiel d’accueil territorial n’est mise en place. On promet le paradis aux migrants et ils trouvent l’enfer.

 

On constate le bouleversement du rythme biologique sachant que la vie de l’être humain est réglée par les rythmes du soleil et de la nature.

 

Or, nous avons décidé arbitrairement, et encore une fois par soi-disant souci d’économie de créer un nouveau rythme de vie en imposant les fameux horaires d’été et d’hiver, obligeant l’homme à vivre en été deux heures en avance et en hiver une heure en retard sur le soleil. Malheureux ceux qui savent qu’à midi il est dix heures du matin et à 22 heures il est 20 heures, le pire est le décalage horaire de l’hiver, les enfants sont baladés aux aurores encore endormis.

 

La lutte de la survie, oblige la plupart des parents à travailler tous les deux, et ainsi trop d’enfants ou d’adolescents se retrouvent seuls, dans la rue ou chez eux entre la télé et le frigo après l’école, s’abrutissant devant une télévision aux programmes insipides, ou pire à passer des heures avec des jeux vidéo dont les seules finalités sont la violence et la destruction de l’autre. Il est incroyable de constater que les héros de notre jeunesse soit la seule gloire, la mort et l’oblitération totale de l’adversaire.

 

La violence devenue un produit de consommation, rapporte beaucoup à ses promoteurs qui ont tout intérêt à la banaliser pour toujours plus spéculer. Les conséquences sont lourdes, car la plupart ont transformé leur discernement afin que la fiction virtuelle devienne une réalité.

L’argent étant devenu la valeur unique de notre société est devenu l’étalon des critères pour juger de la réussite de la notoriété et de la probité d’une personne. Il n’est plus un moyen mais est devenu une finalité en soi, et malheur aux faibles celui qui n’en a pas et qui traverse une épreuve car la richesse et l’aisance matérielle étant  la finalité ultime de notre société il sera éjecté et radié de la carte économique. Dans ce système de l’argent roi toutes les valeurs s’effacent et les gens

sont prêts à trahir tous les idéaux, tout se commerce et se vend jusqu’aux  êtres humains, un enfant de six dans les cultures de cacao se marchande 300 euros.

 

Crédits, facilités de paiement produits bancaires risqués etc tout est fait pour tenter et inciter à consommer encore et toujours, jusqu’au jour ou endetté et dans l’incapacité de payer on vous enlèvera tout moyens d’intégration en chargeant encore la note (agios, frais bancaires etc.). Même l’état sensé protéger ces citoyens, viendra alors participer à la curée (amendes, taxes, surtaxes, la liste n’est pas exhaustive), écartant définitivement tout espoir de s’en sortir et vous enfermant dans cette spirale infernale. Les tentations (publicité à outrance, crédit revolving et autres) est le moyen dont disposent les acteurs privés de cette

 

exploitation des masses, les autorités officielles elles se contentent de

promulguer des lois et des règlements lui donnant droit absolu sur votre argent (ATD, huissier, etc.). Le rouleau compresseur du système ne lui laissera aucune chance de repartir dans la vie.

 

La fascination de notre société vient des gens qui nous gouvernent, pour les Etats-Unis et le modèle américain, nous entraîne sur le chemin de la dépendance pure et simple de cette forme de société, abolissant leur esprit critique fermant les yeux sur les revers de ce modèle.

 

On nous apporte des solutions à des problèmes que nous n’avons pas, en occultant les vraies questions de fond, est une société qui n’est pas dirigée, qui est hors sol comme les fraises espagnoles.

 

Une société devenue suspicieuse envers ceux qui possèdent de l’argent et qui en même temps écrase les plus démunis est une société qui n’a plus aucun sens de la mesure et des valeurs. Nous devrions nous tourner vers le principe loyal de l’entreprise en tandem avec ses employés afin qu’ils s’élèvent, or tout a été fait pour les diviser.

Le coût de la santé devient exorbitant, creusant des déficits énormes, découlant de notre mode de vie sans pour autant assurer un service de santé moderne et professionnel, qui se contente de coller des pensements sur les effets négligeant les conséquences sans jamais s’attaquer aux causes.

Qui se laisse dominer par les stéréotypes de la mondialisation perd sa propre identité, se normalisant et se fondant de plus en plus dans l’anonymat de l’économie mondiale. Le rejet de la diversité et la créativité multiculturelle ne mène nulle part au pire engendre des conflits.

 

Accepter le principe de la rémunération d’un chômeur sans aucune contre partie expose notre société au découragement de ceux qui travaillent et favorise la création d’une société d’assistés accrochés à l’état providence qui leur donnera tout et dont ils deviennent dépendants.

 

Dans une société, à la merci du bon vouloir d’un système bancaire qui trahi ses clients pouvant perturber gravement l’économie nationale, et ce, par le pouvoir démesuré de vous mettre à la rue en faisant un simple clic.

Savez-vous que, lorsque vous avez une saisie sur votre compte bancaire la banque va payer l’huissier, et même en cas de défaut de provisions après paiement de ce dernier elle mettra votre compte à découvert pour ses frais supposés, découvert qu’en temps normal elle vous aurait refusé.

 

Ceci est grave car en agissant ainsi les uns et les autres vous empêche de sortir du problème. C’est en rendant obligatoire la possession d’un compte bancaire que nos dirigeants ont donné un tel pouvoir à ce secteur sur notre société, les banques tiennent en main notre vie économique.

Une société qui impose à tous, le même âge pour la retraite plaçant tous les gens sur le pied d’égalité quant à la durée de la vie professionnelle n’a pas compris à la diversité et la pénibilité du monde du travail.

Une société qui ne respecte pas la nature et les animaux qui vivent dans condition honteuses n’est plus acceptable. Il faut savoir qu’aucune loi n’oblige les paysans à rentrer leurs animaux a l’abri l’hiver et que par conséquent ces animaux sont dehors par tous les temps, même quand le thermomètre est largement en dessous de zéro.

Dans ce contexte rien d’étonnant que de savoir que la crainte majeure juste après le pouvoir d’achat est celle de se retrouver à la rue.