Habitants d’un village ou d’une ville la peine est immense, me voilà face à un grand vide, un monde figé, une planète vidée de ses habitants car détruite par un fantôme que nul ne peut identifier.
Est-ce un Dieu qui a endossé l’habit du diable ou un diable qui a eu la mise à mort et la peau de Dieu.
L’arène n’existe plus car le torero a fait fuir tous les hommes. Pour une fois l’animal a eu raison sur ce monde insensé.
C’est de cette expérience folle, que la fiction n’a jamais inventé, que devrait naitre l’humanisme.
50 millions de morts de la grippe Espagnole n’ont pas suffi à priori à dominer le profit au bénéfice de l’humain.