L’écologie

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« Expropriés de notre culture, dépouillés des valeurs dont nous étions épris – pureté de l’eau et de l’air, grâces de la nature, diversité des espèces animales et végétales – tous indiens désormais, nous sommes en train de faire de nous-mêmes ce que nous avons fait d’eux. »
Claude Lévi Strauss

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Nous le savons tous, la planète n’est pas inépuisable, et si dans 5, 10, 15 ans, retentissait la grande sirène ?

Une alarme qui annonce la fin.

Scientifiques, climatologues et visionnaires semblent dire que la fin des temps, l’entrée dans un nouveau monde est inéluctable.

Impossible et inutile de prévoir des dates car le gigantisme de l’évènement provoqué par la nature sera d’une telle ampleur que les conséquences ne seront pas gérables et n’épargneront personne.

Que peut-il arriver ?

Les causes sont parfaitement identifiées ; les effets on peut les imaginer.

Il y a comme dans une pathologie, une association d’évènements de fait que nous connaissons mais dont le devenir nous échappe.

Le réchauffement climatique et la désertification d’un hémisphère va cruellement nous priver d’eau.

Le manque de nourriture qui déjà s’organise par l’arrivée des insectes cuisinés dans nos assiettes.

L’augmentation de la pollution inévitable laisse prévoir des maladies respiratoires et épidermiques, surtout si l’on considère une augmentation du CO2 durant ces 2 derniers siècles.

La longévité aura de nouvelles voies à explorer dont l’immunothérapie.

On peut également s’attendre à une rechute de la longévité, due à l’improvisation des traitements face aux nouvelles maladies.

En sciant les arbres de l’Amazonie, on scie la branche sur laquelle la terre a fait son nid.

Le cancer du poumon chez les fumeurs est la représentation du microcosme à l’identique et à l’échelle planétaire, les forêts représentent le poumon.

Brulées, coupées ces forêts sont des étendues de sécheresse qui voient s’éteindre la vie.

L’eau manque et la vie disparait emportant avec elle les espèces animales, les végétaux et les hommes.

Pourtant seules les plantes savent absorber le carbone et répandre l’oxygène.

Un arbre = un homme qui respire.

Acheter de la viande emballée ne nous permet pas de visualiser l’animal et nous pousse à la surconsommation.

Trop loin de la nature, nous sommes indifférents à la vie, déconnectés de notre propre ADN.

Ce n’est ni le profit ni l’avancé de la recherche qui sauveront la planète.
Seul notre retour aux racines de nos instincts peut nous réconcilier et rassembler ces unités.

La planète nous parle et se révolte :

On constate les proportions que prennent les catastrophes naturelles comme les cyclones, la chaleur, les vents violents qui affectent les récoltes cruellement ou les masses de pesticides empoisonnent la nourriture du monde animal qui se prépare à mourir empoisonné.

Les mers qui gagnent du terrain, le réchauffement des eaux et les plastiques jetés à la mer font proliférer les méduses qui se développent entre le plastique et la chaleur de l’eau dans des conditions idéales.

Par le principe d’attraction des masses, la fonte des glaces peut peser sur notre continent et faire basculer par une rotation, la terre.

On assisterait dans ce cas à des inversions climatiques.
Mais nous ne pouvons pas et la science ne peut prédire le degré de violence que provoquerait un tel mouvement.

Combien de temps la planète peut elle encore survivre dans de telles conditions ?

Je pense une vingtaine d’années environ d’après une étude sur nos ressources.

On ne peut dire le jour mais ce jour est déjà organisé et programmé par la planète elle-même dans l’ordre de l’univers.

Inéluctablement notre industrialisation au bord de l’explosion ne peut que détruire nos conditions de vie sur terre.

Saint Exupery avait écrit cette phrase:

« On n’hérite pas la terre de nos ancêtres, on l’emprunte à nos enfants ».

Nous sommes bien plus conscients à présent que notre planète est couverte de 7,2 milliards d’êtres humains amalgamé comme des parasites.

La terre se secoue tel un animal envahi de sangsues économiques qui l’étouffent à une vitesse qui s’accélère.

Impossible de faire marche arrière !

L’intérêt a pris le dessus sur la conservation de notre planète.

Élément vivant dans ce macrocosme qui détient mystérieusement tous les ingrédients que chacun de nous possédons.

Face à une menace mondiale qui s’articule autour de :

La climatologie, l’agriculture, la nature, la pollution, la santé publique.

On constate que ces dernières décennies la nature n’arrive plus à s’adapter à ce pillage et n’est plus en mesure de s’auto préserver… d’ou des événements qui dévastent la terre, qui se déforme et craque d’un peu partout.

Pendant ce temps des forces destructrices agissent sur le sort de la population.

Ce déséquilibre injuste ne peut que faire se développer la pauvreté.

Que faire ?

Revenir à la raison, ne pas exiger de la nature ce qu’elle ne peut donner.

Freiner les déforestations

Avoir un regard concerné sur notre environnement.

Transformer une économie mortifère en un renouveau de notre société pour trouver de nouvelles pistes économiques.

Briser le cercle entre industrie, pollution surconsommation.

C est bien notre mode de vie qu’il faut revoir et non considérer ce désastre comme une fatalité.

Seuls les Hommes peuvent prendre en main cet enjeu planétaire.

La transparence de l’eau comme un examen médical est le premier indice d’une planète en bonne santé.

L ‘As argent : notre richesse à tous.

Je suis un esprit du monde donc Humaniste

Etre citoyen, cela implique que l’on appartient à un tout.

Les désastres écologiques sont les conséquences directes de notre société et engendrent trois raisons.
Développement des sciences en utilisant la nature à des fins économiques en tournant le dos à l’éco système.

Il existe un équilibre naturel qui repose sur 4 éléments : terre, air, eau, fer

Cette quadrature est le pilier d’équilibre de notre vie sur cette terre.

Notre corps les associe puisqu’ils constituent notre nature.

Cette étendue d’intelligence qui va vers l’infini, c’est la nature intacte que l’on nous a confié. 

« Lorsque le dernier arbre aura été abattu, le dernier fleuve pollué, le dernier poisson capturé, vous vous rendrez compte que l’argent ne se mange pas » 

Chief Seattle

solidarité